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Séminaire Philosophie/Politique et société

Déconstruire, un geste écologique ?

Hugues CHOPLIN

dateDate : 06/04/2023 heure Début : 18h -> Fin : 20h  Hybride

nota beneCopier le lien dans votre navigateur : https://zoom.us/my/hugues.choplin2

lieu Adresse : Salle Dubuisson, UTC Paris, 62 Boulevard de Sébastopol, 75003 Paris

Résumé :


Aussi nécessaires soient-elles, les déconstructions contemporaines des hiérarchies modernes (culture/nature, etc.) ou de la philosophie occidentale elle-même ne sont pas adéquates à la singularité de notre situation écologique : telle est l’hypothèse qui porte ce séminaire.
Nous l’éprouverons en questionnant, d’abord, les affinités importantes entre la pensée écologique (au sens de D. Bourg & A. Fragnière) et ces déconstructions, que celles-ci procèdent d’un travail empirique (P. Descola) ou d’un geste plus philosophique, directement positionné (J.-B. Callicott) ou non (Derrida, F. Laruelle) du côté de l’écologie. Remise en cause de l’anthropocentrisme, critique des pouvoirs de la technique, mais aussi et surtout disqualification des hiérarchies (homme/animal, sujet/objet, etc.) qui les soutiennent : ces déconstructions paraissent en effet nécessaires à la pensée écologique pour que, loin de revenir à un essentialisme (de la Nature, de la Vie ou de l’Homme), elle acquière la radicalité adéquate.
Déconstructions & pensée écologique : si ce couple pose néanmoins problème, c’est qu’il semble reposer sur le primat de ressorts – une puissance de (sur)vie, une dynamique relationnelle ou événementielle – qui structurent également le (bio-)capitalisme contemporain. N’est-ce pas cette convergence étonnante des déconstructions, de la pensée écologique et du néo-capitalisme qu’atteste exemplairement la manière dont tous paraissent constituer le commun depuis la figure du réseau ou encore de l’agencement (au sens de Deleuze & Guattari) ? Répondre à l’exigence écologique requiert dès lors la découverte d’un indéconstructible déjouant l’espace de pensée contemporain dont cette convergence elle-même procède. Cet indéconstructible désignerait-il l’impuissance d’une terre sauvage (F. Neyrat) ? Une dimension communesimple plutôt que radicale – affranchie à la fois de la figure du réseau et de celle de la communauté ?
Intervenants :
– Jeudi 9 mars : Hugues Choplin, CIPh, Université de technologie de Compiègne : Problématiser les déconstructions contemporaines ou « refuser ce que nous sommes »
Discutant : Sacha Aksin

– Jeudi 6 avril : Xavier Guchet, Université de technologie de Compiègne : De la puissance au soin, quelle philosophie de la technique ?
Discutant : Victor Petit, Université de technologie de Troyes

– Jeudi 13 avril : Dominique Bourg, Université de Lausanne : Paradigme, philosophie et déconstructions
Discutants : Frédéric Worms, École normale supérieure, Paris, et Igor Krtolica, CIPh, Université de Picardie Jules Verne

– Jeudi 11 mai : Igor Krtolica, CIPh, Université de Picardie Jules Verne : La Terre comme in(dé)constructible : philosophie de la nature et philosophie politique chez Deleuze et Guattari
Discutant : Frédéric Neyrat, Université de Madison-Wisconsin, ancien directeur de programme au CIPh

– Jeudi 25 mai : Jérôme Lèbre, CGPE – Lycée Louis-le-Grand, Paris, ancien directeur de programme au CIPh : Déconstruction du nucléaire
Discutant : Valentin Husson, Université de Strasbourg

– Jeudi 15 juin : table-ronde : Quel in(dé)constructible ? Frédéric Monferrand, Université Paris 1 ; Frédéric Neyrat, Université de Madison-Wisconsin, ancien directeur de programme au CIPh ; Jean-Baptiste Vuillerod, Université de Namur ; Hugues Choplin, CIPh, Université de technologie de Compiègne

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Déconstruire, un geste écologique ?

Hugues CHOPLIN

dateDate : 13/04/2023 heure Début : 18h -> Fin : 20h  Hybride

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lieu Adresse : Salle Barthès , UTC Paris, 62 Boulevard de Sébastopol, 75003 Paris

Résumé :


Aussi nécessaires soient-elles, les déconstructions contemporaines des hiérarchies modernes (culture/nature, etc.) ou de la philosophie occidentale elle-même ne sont pas adéquates à la singularité de notre situation écologique : telle est l’hypothèse qui porte ce séminaire.
Nous l’éprouverons en questionnant, d’abord, les affinités importantes entre la pensée écologique (au sens de D. Bourg & A. Fragnière) et ces déconstructions, que celles-ci procèdent d’un travail empirique (P. Descola) ou d’un geste plus philosophique, directement positionné (J.-B. Callicott) ou non (Derrida, F. Laruelle) du côté de l’écologie. Remise en cause de l’anthropocentrisme, critique des pouvoirs de la technique, mais aussi et surtout disqualification des hiérarchies (homme/animal, sujet/objet, etc.) qui les soutiennent : ces déconstructions paraissent en effet nécessaires à la pensée écologique pour que, loin de revenir à un essentialisme (de la Nature, de la Vie ou de l’Homme), elle acquière la radicalité adéquate.
Déconstructions & pensée écologique : si ce couple pose néanmoins problème, c’est qu’il semble reposer sur le primat de ressorts – une puissance de (sur)vie, une dynamique relationnelle ou événementielle – qui structurent également le (bio-)capitalisme contemporain. N’est-ce pas cette convergence étonnante des déconstructions, de la pensée écologique et du néo-capitalisme qu’atteste exemplairement la manière dont tous paraissent constituer le commun depuis la figure du réseau ou encore de l’agencement (au sens de Deleuze & Guattari) ? Répondre à l’exigence écologique requiert dès lors la découverte d’un indéconstructible déjouant l’espace de pensée contemporain dont cette convergence elle-même procède. Cet indéconstructible désignerait-il l’impuissance d’une terre sauvage (F. Neyrat) ? Une dimension communesimple plutôt que radicale – affranchie à la fois de la figure du réseau et de celle de la communauté ?
Intervenants :
– Jeudi 9 mars : Hugues Choplin, CIPh, Université de technologie de Compiègne : Problématiser les déconstructions contemporaines ou « refuser ce que nous sommes »
Discutant : Sacha Aksin

– Jeudi 6 avril : Xavier Guchet, Université de technologie de Compiègne : De la puissance au soin, quelle philosophie de la technique ?
Discutant : Victor Petit, Université de technologie de Troyes

– Jeudi 13 avril : Dominique Bourg, Université de Lausanne : Paradigme, philosophie et déconstructions
Discutants : Frédéric Worms, École normale supérieure, Paris, et Igor Krtolica, CIPh, Université de Picardie Jules Verne

– Jeudi 11 mai : Igor Krtolica, CIPh, Université de Picardie Jules Verne : La Terre comme in(dé)constructible : philosophie de la nature et philosophie politique chez Deleuze et Guattari
Discutant : Frédéric Neyrat, Université de Madison-Wisconsin, ancien directeur de programme au CIPh

– Jeudi 25 mai : Jérôme Lèbre, CGPE – Lycée Louis-le-Grand, Paris, ancien directeur de programme au CIPh : Déconstruction du nucléaire
Discutant : Valentin Husson, Université de Strasbourg

– Jeudi 15 juin : table-ronde : Quel in(dé)constructible ? Frédéric Monferrand, Université Paris 1 ; Frédéric Neyrat, Université de Madison-Wisconsin, ancien directeur de programme au CIPh ; Jean-Baptiste Vuillerod, Université de Namur ; Hugues Choplin, CIPh, Université de technologie de Compiègne

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Déconstruire, un geste écologique ?

Hugues CHOPLIN

dateDate : 11/05/2023 heure Début : 18h -> Fin : 20h  Hybride

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lieu Adresse : Salle Dubuisson, UTC Paris, 62 Boulevard de Sébastopol, 75003 Paris

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Aussi nécessaires soient-elles, les déconstructions contemporaines des hiérarchies modernes (culture/nature, etc.) ou de la philosophie occidentale elle-même ne sont pas adéquates à la singularité de notre situation écologique : telle est l’hypothèse qui porte ce séminaire.
Nous l’éprouverons en questionnant, d’abord, les affinités importantes entre la pensée écologique (au sens de D. Bourg & A. Fragnière) et ces déconstructions, que celles-ci procèdent d’un travail empirique (P. Descola) ou d’un geste plus philosophique, directement positionné (J.-B. Callicott) ou non (Derrida, F. Laruelle) du côté de l’écologie. Remise en cause de l’anthropocentrisme, critique des pouvoirs de la technique, mais aussi et surtout disqualification des hiérarchies (homme/animal, sujet/objet, etc.) qui les soutiennent : ces déconstructions paraissent en effet nécessaires à la pensée écologique pour que, loin de revenir à un essentialisme (de la Nature, de la Vie ou de l’Homme), elle acquière la radicalité adéquate.
Déconstructions & pensée écologique : si ce couple pose néanmoins problème, c’est qu’il semble reposer sur le primat de ressorts – une puissance de (sur)vie, une dynamique relationnelle ou événementielle – qui structurent également le (bio-)capitalisme contemporain. N’est-ce pas cette convergence étonnante des déconstructions, de la pensée écologique et du néo-capitalisme qu’atteste exemplairement la manière dont tous paraissent constituer le commun depuis la figure du réseau ou encore de l’agencement (au sens de Deleuze & Guattari) ? Répondre à l’exigence écologique requiert dès lors la découverte d’un indéconstructible déjouant l’espace de pensée contemporain dont cette convergence elle-même procède. Cet indéconstructible désignerait-il l’impuissance d’une terre sauvage (F. Neyrat) ? Une dimension communesimple plutôt que radicale – affranchie à la fois de la figure du réseau et de celle de la communauté ?
Intervenants :
– Jeudi 9 mars : Hugues Choplin, CIPh, Université de technologie de Compiègne : Problématiser les déconstructions contemporaines ou « refuser ce que nous sommes »
Discutant : Sacha Aksin

– Jeudi 6 avril : Xavier Guchet, Université de technologie de Compiègne : De la puissance au soin, quelle philosophie de la technique ?
Discutant : Victor Petit, Université de technologie de Troyes

– Jeudi 13 avril : Dominique Bourg, Université de Lausanne : Paradigme, philosophie et déconstructions
Discutants : Frédéric Worms, École normale supérieure, Paris, et Igor Krtolica, CIPh, Université de Picardie Jules Verne

– Jeudi 11 mai : Igor Krtolica, CIPh, Université de Picardie Jules Verne : La Terre comme in(dé)constructible : philosophie de la nature et philosophie politique chez Deleuze et Guattari
Discutant : Frédéric Neyrat, Université de Madison-Wisconsin, ancien directeur de programme au CIPh

– Jeudi 25 mai : Jérôme Lèbre, CGPE – Lycée Louis-le-Grand, Paris, ancien directeur de programme au CIPh : Déconstruction du nucléaire
Discutant : Valentin Husson, Université de Strasbourg

– Jeudi 15 juin : table-ronde : Quel in(dé)constructible ? Frédéric Monferrand, Université Paris 1 ; Frédéric Neyrat, Université de Madison-Wisconsin, ancien directeur de programme au CIPh ; Jean-Baptiste Vuillerod, Université de Namur ; Hugues Choplin, CIPh, Université de technologie de Compiègne

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Aussi nécessaires soient-elles, les déconstructions contemporaines des hiérarchies modernes (culture/nature, etc.) ou de la philosophie occidentale elle-même ne sont pas adéquates à la singularité de notre situation écologique : telle est l’hypothèse qui porte ce séminaire.
Nous l’éprouverons en questionnant, d’abord, les affinités importantes entre la pensée écologique (au sens de D. Bourg & A. Fragnière) et ces déconstructions, que celles-ci procèdent d’un travail empirique (P. Descola) ou d’un geste plus philosophique, directement positionné (J.-B. Callicott) ou non (Derrida, F. Laruelle) du côté de l’écologie. Remise en cause de l’anthropocentrisme, critique des pouvoirs de la technique, mais aussi et surtout disqualification des hiérarchies (homme/animal, sujet/objet, etc.) qui les soutiennent : ces déconstructions paraissent en effet nécessaires à la pensée écologique pour que, loin de revenir à un essentialisme (de la Nature, de la Vie ou de l’Homme), elle acquière la radicalité adéquate.
Déconstructions & pensée écologique : si ce couple pose néanmoins problème, c’est qu’il semble reposer sur le primat de ressorts – une puissance de (sur)vie, une dynamique relationnelle ou événementielle – qui structurent également le (bio-)capitalisme contemporain. N’est-ce pas cette convergence étonnante des déconstructions, de la pensée écologique et du néo-capitalisme qu’atteste exemplairement la manière dont tous paraissent constituer le commun depuis la figure du réseau ou encore de l’agencement (au sens de Deleuze & Guattari) ? Répondre à l’exigence écologique requiert dès lors la découverte d’un indéconstructible déjouant l’espace de pensée contemporain dont cette convergence elle-même procède. Cet indéconstructible désignerait-il l’impuissance d’une terre sauvage (F. Neyrat) ? Une dimension communesimple plutôt que radicale – affranchie à la fois de la figure du réseau et de celle de la communauté ?
Intervenants :
– Jeudi 9 mars : Hugues Choplin, CIPh, Université de technologie de Compiègne : Problématiser les déconstructions contemporaines ou « refuser ce que nous sommes »
Discutant : Sacha Aksin

– Jeudi 6 avril : Xavier Guchet, Université de technologie de Compiègne : De la puissance au soin, quelle philosophie de la technique ?
Discutant : Victor Petit, Université de technologie de Troyes

– Jeudi 13 avril : Dominique Bourg, Université de Lausanne : Paradigme, philosophie et déconstructions
Discutants : Frédéric Worms, École normale supérieure, Paris, et Igor Krtolica, CIPh, Université de Picardie Jules Verne

– Jeudi 11 mai : Igor Krtolica, CIPh, Université de Picardie Jules Verne : La Terre comme in(dé)constructible : philosophie de la nature et philosophie politique chez Deleuze et Guattari
Discutant : Frédéric Neyrat, Université de Madison-Wisconsin, ancien directeur de programme au CIPh

– Jeudi 25 mai : Jérôme Lèbre, CGPE – Lycée Louis-le-Grand, Paris, ancien directeur de programme au CIPh : Déconstruction du nucléaire
Discutant : Valentin Husson, Université de Strasbourg

– Jeudi 15 juin : table-ronde : Quel in(dé)constructible ? Frédéric Monferrand, Université Paris 1 ; Frédéric Neyrat, Université de Madison-Wisconsin, ancien directeur de programme au CIPh ; Jean-Baptiste Vuillerod, Université de Namur ; Hugues Choplin, CIPh, Université de technologie de Compiègne

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Aussi nécessaires soient-elles, les déconstructions contemporaines des hiérarchies modernes (culture/nature, etc.) ou de la philosophie occidentale elle-même ne sont pas adéquates à la singularité de notre situation écologique : telle est l’hypothèse qui porte ce séminaire.
Nous l’éprouverons en questionnant, d’abord, les affinités importantes entre la pensée écologique (au sens de D. Bourg & A. Fragnière) et ces déconstructions, que celles-ci procèdent d’un travail empirique (P. Descola) ou d’un geste plus philosophique, directement positionné (J.-B. Callicott) ou non (Derrida, F. Laruelle) du côté de l’écologie. Remise en cause de l’anthropocentrisme, critique des pouvoirs de la technique, mais aussi et surtout disqualification des hiérarchies (homme/animal, sujet/objet, etc.) qui les soutiennent : ces déconstructions paraissent en effet nécessaires à la pensée écologique pour que, loin de revenir à un essentialisme (de la Nature, de la Vie ou de l’Homme), elle acquière la radicalité adéquate.
Déconstructions & pensée écologique : si ce couple pose néanmoins problème, c’est qu’il semble reposer sur le primat de ressorts – une puissance de (sur)vie, une dynamique relationnelle ou événementielle – qui structurent également le (bio-)capitalisme contemporain. N’est-ce pas cette convergence étonnante des déconstructions, de la pensée écologique et du néo-capitalisme qu’atteste exemplairement la manière dont tous paraissent constituer le commun depuis la figure du réseau ou encore de l’agencement (au sens de Deleuze & Guattari) ? Répondre à l’exigence écologique requiert dès lors la découverte d’un indéconstructible déjouant l’espace de pensée contemporain dont cette convergence elle-même procède. Cet indéconstructible désignerait-il l’impuissance d’une terre sauvage (F. Neyrat) ? Une dimension communesimple plutôt que radicale – affranchie à la fois de la figure du réseau et de celle de la communauté ?
Intervenants :
– Jeudi 9 mars : Hugues Choplin, CIPh, Université de technologie de Compiègne : Problématiser les déconstructions contemporaines ou « refuser ce que nous sommes »
Discutant : Sacha Aksin

– Jeudi 6 avril : Xavier Guchet, Université de technologie de Compiègne : De la puissance au soin, quelle philosophie de la technique ?
Discutant : Victor Petit, Université de technologie de Troyes

– Jeudi 13 avril : Dominique Bourg, Université de Lausanne : Paradigme, philosophie et déconstructions
Discutants : Frédéric Worms, École normale supérieure, Paris, et Igor Krtolica, CIPh, Université de Picardie Jules Verne

– Jeudi 11 mai : Igor Krtolica, CIPh, Université de Picardie Jules Verne : La Terre comme in(dé)constructible : philosophie de la nature et philosophie politique chez Deleuze et Guattari
Discutant : Frédéric Neyrat, Université de Madison-Wisconsin, ancien directeur de programme au CIPh

– Jeudi 25 mai : Jérôme Lèbre, CGPE – Lycée Louis-le-Grand, Paris, ancien directeur de programme au CIPh : Déconstruction du nucléaire
Discutant : Valentin Husson, Université de Strasbourg

– Jeudi 15 juin : table-ronde : Quel in(dé)constructible ? Frédéric Monferrand, Université Paris 1 ; Frédéric Neyrat, Université de Madison-Wisconsin, ancien directeur de programme au CIPh ; Jean-Baptiste Vuillerod, Université de Namur ; Hugues Choplin, CIPh, Université de technologie de Compiègne

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