AGENDA
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- Samedi, Débat autour d’un livre, Forums
Colloque Philosophie/Sciences humaines
En finir avec les Grecs ? Nicole Loraux : le travail de l'œuvre
Vincent AZOULAY et Céline HERVET
Date : 30/05/2023
Début : 9h -> Fin : 18h O.K.
Adresse : Salle Vasari, INHA (Institut national d'histoire de l'art), 2 rue Vivienne, 75002 Paris
Résumé : Colloque organisé avec l'EHESS, et le soutien de ANHIMA – Anthropologie et histoires des mondes antiques (UMR 8210), l'Université de Picardie Jules Verne, CURAPP-ESS (UMR 7319).
S’inscrivant dans le champ de l’anthropologie historique de la Grèce ancienne aux côtés de celles de Marcel Détienne, Jean-Pierre Vernant et Pierre Vidal-Naquet, l’œuvre de Nicole Loraux (1943-2003) a connu un retentissement qui dépasse les mondes disciplinaires et leurs cloisonnements. Dialoguant avec les penseurs majeurs de la seconde moitié du XXe siècle en philosophie (Foucault, Derrida, Lyotard, Lefort, Castoriadis, Rancière, Abensour) et en sciences humaines (Lévi-Strauss, Clastres, Benveniste, Lacan, Michel de Certeau), théorisant l’anachronisme en histoire, elle offre l’exemple d’une œuvre profondément indisciplinée et turbulente. Historienne de l’imaginaire grec tel qu’il s’invente dans des paroles dont bruissent des textes qu’il faut savoir écouter, Nicole Loraux entendait restituer à l’histoire sa part d’affect. Le tableau vivant qui s’en dégage interpelle d’autant plus la philosophie que celle-ci revendique son enracinement dans les humanités, dans un « miracle grec » avec lequel Nicole Loraux recommandait dès 1980 d’« en finir ». Il y a dans son œuvre un effort d’archéologie et de déconstruction des assimilations identitaires dont la fécondité reste encore à mesurer aussi bien en histoire qu’en philosophie. Comment ne pas relire tout autrement, par exemple, les textes d’une première modernité hantée par les anciens ? Si Machiavel, Hobbes, Spinoza ou encore Rousseau opèrent une rupture avec les conceptions antiques, ils héritent également d’une certaine vision de la pratique démocratique sans ce que ces jeux d’opposition, d’occultation et d’exclusion ne soit clairement énoncés, ils sont comme nous autres contemporains, tributaires de récits dont il s’agit d’exhiber les ressorts plus ou moins conscients. Ce colloque anniversaire se veut, plus qu’un hommage, un examen et un inventaire des travaux que cette œuvre inclassable a produit en histoire, en philosophie, en études de genre, en anthropologie, de ce à quoi elle a donné naissance « hors d’elle » au cours des vingt dernières années.
Programme détaillé des journées :
Mardi 30 mai
9h30 : Accueil des participants
9h45 : Vincent Azoulay et Céline Hervet ‐ Introduction du colloque
Session 1 : La démocratie et ses divisions chez Nicole Loraux Problèmes d’épistémologie politique
Présidence de session : Céline Hervet (Université de Picardie Jules Verne, CIPh)
10h : Sophie Wahnich (CNRS, PACTE)
La mémoire barrée du conflit : problèmes grecs et contemporains de la démocratie
10h40 : Geneviève Fraisse (CNRS, CRAL) Rester au centre
11h20 : Haud Guéguen (CNAM)
La division du politique dans l’œuvre de Nicole Loraux
Session 2 : Qu’advient‐il d’une passion dans la cité ?
La douleur et la mort chez Nicole Loraux
Présidence de session : Michèle Cohen‐Halimi (Université Paris 8)
14h : Céline Hervet (Université de Picardie Jules Verne, CIPh)
Ces morts qui comptent. Repolitiser le deuil, actualité d’un geste philosophique
14h45 : Bernard Aspe (CIPh) La douleur sans nom
15h15 : Mara Montanaro (Université Paris 8, CIPh)
Façons tragiques de tuer une femme à l’épreuve de la machine féminicide
Mercredi 31 mai
Session 3 : Théâtralités et subversions du genre dans l’œuvre de Nicole Loraux
Présidence de session : Pauline Clochec (Université de Picardie Jules Verne)
9h45 : Estelle Ferrarese (Université de Picardie Jules Verne, IUF)
« Une femme est toujours cause de ses propres larmes ». Une lecture des Mères en deuil
10h25 : Elena Anastasaki (Université de Thessalie, CIPh)
Qui a peur d’une femme qui pleure ? Hécube et le pouvoir subversif des larmes
11h05 : Estel Baudou (University of Lincoln, Royaume Uni)
L'après et ailleurs du chœur tragique. De la « voix endeuillée » (Loraux, 1998) à une « politique queer de l'émotion » (Muñoz, 2009)
Session 4 : La mémoire, l’histoire, l’oubli
Passé et présent dans l’œuvre de Nicole Loraux
Présidence de session : Sophie Wahnich (CNRS, PACTE)
13h30 : Martin Mégevand (Université Paris 8)
Penser les enjeux de mémoire avec Nicole Loraux
14h10 : Nicolas Poirier (Paris, SOPHIAPOL)
« Ni trop loin, ni trop près du présent » : la réinvention d'Athènes
14h50 : Michèle Riot‐Sarcey (Université Paris 8) Éloge de l’anachronisme en histoire
Session 5 : Filiations, autochtonies et questions de genre
Apports de Nicole Loraux en anthropologie et sociologie
Présidence de session : Bertrand Ogilvie (Université Paris 8)
15h40 : Claude Calame (EHESS, ANHIMA)
Autochtonies entre études genre et écoféminismes : naissances citoyennes de la terre
16h20 : Irène Théry (EHESS, CNE)
Le lit, la guerre : l'œuvre de Nicole Loraux, un apport majeur pour la sociologie contemporaine
Jeudi 1er juin
Session 6 : La cité et ses divisions
Nicole Loraux, lectrice de la philosophie grecque ancienne
Présidence de session : Vincent Azoulay (EHESS, ANHIMA)
9h30 : Arnaud Macé (Université de Franche‐Comté)
La cité fracturée. Platon et la violence politique
10h10 : Esther Rogan (IEP Paris)
Nicole Loraux, lectrice inconsciente de la stasis d’Aristote ?
10h50 : Laura Moscarelli (CIPh)
Un oubli dans la mémoire d'Athènes : le cas des sophistes en histoire de la philosophie grecque ancienne
11h30 : Étienne Helmer (Université de Porto Rico, CIPh)
Lire Platon avec Nicole Loraux : forces et limites du schème de la division >> Partager

Colloque Philosophie/Sciences humaines
En finir avec les Grecs ? Nicole Loraux : le travail de l'œuvre
Vincent AZOULAY et Céline HERVET
Date : 31/05/2023
Début : 9h -> Fin : 18h O.K.
Adresse : Salle Vasari, INHA (Institut national d'histoire de l'art), 2 rue Vivienne, 75002 Paris
Résumé : Colloque organisé avec l'EHESS, et le soutien de ANHIMA – Anthropologie et histoires des mondes antiques (UMR 8210), l'Université de Picardie Jules Verne, CURAPP-ESS (UMR 7319).
S’inscrivant dans le champ de l’anthropologie historique de la Grèce ancienne aux côtés de celles de Marcel Détienne, Jean-Pierre Vernant et Pierre Vidal-Naquet, l’œuvre de Nicole Loraux (1943-2003) a connu un retentissement qui dépasse les mondes disciplinaires et leurs cloisonnements. Dialoguant avec les penseurs majeurs de la seconde moitié du XXe siècle en philosophie (Foucault, Derrida, Lyotard, Lefort, Castoriadis, Rancière, Abensour) et en sciences humaines (Lévi-Strauss, Clastres, Benveniste, Lacan, Michel de Certeau), théorisant l’anachronisme en histoire, elle offre l’exemple d’une œuvre profondément indisciplinée et turbulente. Historienne de l’imaginaire grec tel qu’il s’invente dans des paroles dont bruissent des textes qu’il faut savoir écouter, Nicole Loraux entendait restituer à l’histoire sa part d’affect. Le tableau vivant qui s’en dégage interpelle d’autant plus la philosophie que celle-ci revendique son enracinement dans les humanités, dans un « miracle grec » avec lequel Nicole Loraux recommandait dès 1980 d’« en finir ». Il y a dans son œuvre un effort d’archéologie et de déconstruction des assimilations identitaires dont la fécondité reste encore à mesurer aussi bien en histoire qu’en philosophie. Comment ne pas relire tout autrement, par exemple, les textes d’une première modernité hantée par les anciens ? Si Machiavel, Hobbes, Spinoza ou encore Rousseau opèrent une rupture avec les conceptions antiques, ils héritent également d’une certaine vision de la pratique démocratique sans ce que ces jeux d’opposition, d’occultation et d’exclusion ne soit clairement énoncés, ils sont comme nous autres contemporains, tributaires de récits dont il s’agit d’exhiber les ressorts plus ou moins conscients. Ce colloque anniversaire se veut, plus qu’un hommage, un examen et un inventaire des travaux que cette œuvre inclassable a produit en histoire, en philosophie, en études de genre, en anthropologie, de ce à quoi elle a donné naissance « hors d’elle » au cours des vingt dernières années.
Programme détaillé des journées :
Mardi 30 mai
9h30 : Accueil des participants
9h45 : Vincent Azoulay et Céline Hervet ‐ Introduction du colloque
Session 1 : La démocratie et ses divisions chez Nicole Loraux Problèmes d’épistémologie politique
Présidence de session : Céline Hervet (Université de Picardie Jules Verne, CIPh)
10h : Sophie Wahnich (CNRS, PACTE)
La mémoire barrée du conflit : problèmes grecs et contemporains de la démocratie
10h40 : Geneviève Fraisse (CNRS, CRAL) Rester au centre
11h20 : Haud Guéguen (CNAM)
La division du politique dans l’œuvre de Nicole Loraux
Session 2 : Qu’advient‐il d’une passion dans la cité ?
La douleur et la mort chez Nicole Loraux
Présidence de session : Michèle Cohen‐Halimi (Université Paris 8)
14h : Céline Hervet (Université de Picardie Jules Verne, CIPh)
Ces morts qui comptent. Repolitiser le deuil, actualité d’un geste philosophique
14h45 : Bernard Aspe (CIPh) La douleur sans nom
15h15 : Mara Montanaro (Université Paris 8, CIPh)
Façons tragiques de tuer une femme à l’épreuve de la machine féminicide
Mercredi 31 mai
Session 3 : Théâtralités et subversions du genre dans l’œuvre de Nicole Loraux
Présidence de session : Pauline Clochec (Université de Picardie Jules Verne)
9h45 : Estelle Ferrarese (Université de Picardie Jules Verne, IUF)
« Une femme est toujours cause de ses propres larmes ». Une lecture des Mères en deuil
10h25 : Elena Anastasaki (Université de Thessalie, CIPh)
Qui a peur d’une femme qui pleure ? Hécube et le pouvoir subversif des larmes
11h05 : Estel Baudou (University of Lincoln, Royaume Uni)
L'après et ailleurs du chœur tragique. De la « voix endeuillée » (Loraux, 1998) à une « politique queer de l'émotion » (Muñoz, 2009)
Session 4 : La mémoire, l’histoire, l’oubli
Passé et présent dans l’œuvre de Nicole Loraux
Présidence de session : Sophie Wahnich (CNRS, PACTE)
13h30 : Martin Mégevand (Université Paris 8)
Penser les enjeux de mémoire avec Nicole Loraux
14h10 : Nicolas Poirier (Paris, SOPHIAPOL)
« Ni trop loin, ni trop près du présent » : la réinvention d'Athènes
14h50 : Michèle Riot‐Sarcey (Université Paris 8) Éloge de l’anachronisme en histoire
Session 5 : Filiations, autochtonies et questions de genre
Apports de Nicole Loraux en anthropologie et sociologie
Présidence de session : Bertrand Ogilvie (Université Paris 8)
15h40 : Claude Calame (EHESS, ANHIMA)
Autochtonies entre études genre et écoféminismes : naissances citoyennes de la terre
16h20 : Irène Théry (EHESS, CNE)
Le lit, la guerre : l'œuvre de Nicole Loraux, un apport majeur pour la sociologie contemporaine
Jeudi 1er juin
Session 6 : La cité et ses divisions
Nicole Loraux, lectrice de la philosophie grecque ancienne
Présidence de session : Vincent Azoulay (EHESS, ANHIMA)
9h30 : Arnaud Macé (Université de Franche‐Comté)
La cité fracturée. Platon et la violence politique
10h10 : Esther Rogan (IEP Paris)
Nicole Loraux, lectrice inconsciente de la stasis d’Aristote ?
10h50 : Laura Moscarelli (CIPh)
Un oubli dans la mémoire d'Athènes : le cas des sophistes en histoire de la philosophie grecque ancienne
11h30 : Étienne Helmer (Université de Porto Rico, CIPh)
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Colloque Philosophie/Sciences humaines
En finir avec les Grecs ? Nicole Loraux : le travail de l'œuvre
Vincent AZOULAY et Céline HERVET
Date : 01/06/2023
Début : 9h -> Fin : 18h O.K.
Adresse : Salle Vasari, INHA (Institut national d'histoire de l'art), 2 rue Vivienne, 75002 Paris
Résumé : Colloque organisé avec l'EHESS, et le soutien de ANHIMA – Anthropologie et histoires des mondes antiques (UMR 8210), l'Université de Picardie Jules Verne, CURAPP-ESS (UMR 7319).
S’inscrivant dans le champ de l’anthropologie historique de la Grèce ancienne aux côtés de celles de Marcel Détienne, Jean-Pierre Vernant et Pierre Vidal-Naquet, l’œuvre de Nicole Loraux (1943-2003) a connu un retentissement qui dépasse les mondes disciplinaires et leurs cloisonnements. Dialoguant avec les penseurs majeurs de la seconde moitié du XXe siècle en philosophie (Foucault, Derrida, Lyotard, Lefort, Castoriadis, Rancière, Abensour) et en sciences humaines (Lévi-Strauss, Clastres, Benveniste, Lacan, Michel de Certeau), théorisant l’anachronisme en histoire, elle offre l’exemple d’une œuvre profondément indisciplinée et turbulente. Historienne de l’imaginaire grec tel qu’il s’invente dans des paroles dont bruissent des textes qu’il faut savoir écouter, Nicole Loraux entendait restituer à l’histoire sa part d’affect. Le tableau vivant qui s’en dégage interpelle d’autant plus la philosophie que celle-ci revendique son enracinement dans les humanités, dans un « miracle grec » avec lequel Nicole Loraux recommandait dès 1980 d’« en finir ». Il y a dans son œuvre un effort d’archéologie et de déconstruction des assimilations identitaires dont la fécondité reste encore à mesurer aussi bien en histoire qu’en philosophie. Comment ne pas relire tout autrement, par exemple, les textes d’une première modernité hantée par les anciens ? Si Machiavel, Hobbes, Spinoza ou encore Rousseau opèrent une rupture avec les conceptions antiques, ils héritent également d’une certaine vision de la pratique démocratique sans ce que ces jeux d’opposition, d’occultation et d’exclusion ne soit clairement énoncés, ils sont comme nous autres contemporains, tributaires de récits dont il s’agit d’exhiber les ressorts plus ou moins conscients. Ce colloque anniversaire se veut, plus qu’un hommage, un examen et un inventaire des travaux que cette œuvre inclassable a produit en histoire, en philosophie, en études de genre, en anthropologie, de ce à quoi elle a donné naissance « hors d’elle » au cours des vingt dernières années.
Programme détaillé des journées :
Mardi 30 mai
9h30 : Accueil des participants
9h45 : Vincent Azoulay et Céline Hervet ‐ Introduction du colloque
Session 1 : La démocratie et ses divisions chez Nicole Loraux Problèmes d’épistémologie politique
Présidence de session : Céline Hervet (Université de Picardie Jules Verne, CIPh)
10h : Sophie Wahnich (CNRS, PACTE)
La mémoire barrée du conflit : problèmes grecs et contemporains de la démocratie
10h40 : Geneviève Fraisse (CNRS, CRAL) Rester au centre
11h20 : Haud Guéguen (CNAM)
La division du politique dans l’œuvre de Nicole Loraux
Session 2 : Qu’advient‐il d’une passion dans la cité ?
La douleur et la mort chez Nicole Loraux
Présidence de session : Michèle Cohen‐Halimi (Université Paris 8)
14h : Céline Hervet (Université de Picardie Jules Verne, CIPh)
Ces morts qui comptent. Repolitiser le deuil, actualité d’un geste philosophique
14h45 : Bernard Aspe (CIPh) La douleur sans nom
15h15 : Mara Montanaro (Université Paris 8, CIPh)
Façons tragiques de tuer une femme à l’épreuve de la machine féminicide
Mercredi 31 mai
Session 3 : Théâtralités et subversions du genre dans l’œuvre de Nicole Loraux
Présidence de session : Pauline Clochec (Université de Picardie Jules Verne)
9h45 : Estelle Ferrarese (Université de Picardie Jules Verne, IUF)
« Une femme est toujours cause de ses propres larmes ». Une lecture des Mères en deuil
10h25 : Elena Anastasaki (Université de Thessalie, CIPh)
Qui a peur d’une femme qui pleure ? Hécube et le pouvoir subversif des larmes
11h05 : Estel Baudou (University of Lincoln, Royaume Uni)
L'après et ailleurs du chœur tragique. De la « voix endeuillée » (Loraux, 1998) à une « politique queer de l'émotion » (Muñoz, 2009)
Session 4 : La mémoire, l’histoire, l’oubli
Passé et présent dans l’œuvre de Nicole Loraux
Présidence de session : Sophie Wahnich (CNRS, PACTE)
13h30 : Martin Mégevand (Université Paris 8)
Penser les enjeux de mémoire avec Nicole Loraux
14h10 : Nicolas Poirier (Paris, SOPHIAPOL)
« Ni trop loin, ni trop près du présent » : la réinvention d'Athènes
14h50 : Michèle Riot‐Sarcey (Université Paris 8) Éloge de l’anachronisme en histoire
Session 5 : Filiations, autochtonies et questions de genre
Apports de Nicole Loraux en anthropologie et sociologie
Présidence de session : Bertrand Ogilvie (Université Paris 8)
15h40 : Claude Calame (EHESS, ANHIMA)
Autochtonies entre études genre et écoféminismes : naissances citoyennes de la terre
16h20 : Irène Théry (EHESS, CNE)
Le lit, la guerre : l'œuvre de Nicole Loraux, un apport majeur pour la sociologie contemporaine
Jeudi 1er juin
Session 6 : La cité et ses divisions
Nicole Loraux, lectrice de la philosophie grecque ancienne
Présidence de session : Vincent Azoulay (EHESS, ANHIMA)
9h30 : Arnaud Macé (Université de Franche‐Comté)
La cité fracturée. Platon et la violence politique
10h10 : Esther Rogan (IEP Paris)
Nicole Loraux, lectrice inconsciente de la stasis d’Aristote ?
10h50 : Laura Moscarelli (CIPh)
Un oubli dans la mémoire d'Athènes : le cas des sophistes en histoire de la philosophie grecque ancienne
11h30 : Étienne Helmer (Université de Porto Rico, CIPh)
Lire Platon avec Nicole Loraux : forces et limites du schème de la division >> Partager
