Podcasts
Mémoire orale
La mémoire orale est le florilège des enregistrements sonores des activités du Collège.
Les enregistrements de la période 1983 à 2018 sont disponibles à l’écoute dans toute la France sur les bornes INA. Liste des lieux de consultation ici
Les enregistrements des années récentes sont en cours de traitement. Vous pouvez en retrouver certains dans les rubriques "Podcasts" et "Vidéos" de notre site.
27-09-2022

Radio Aligre
Philosophie au présent, émission animée par Isabelle Raviolo & Nathalie Périn, directrices de programme au Collège international de philosophie.
Émissions passées disponibles à l’écoute :
* 2 juillet 2022 : L’être et la vibration spirituelle chez Mark Rothko.
* 25 juin 2022 : Dinu Lipatti, « L’éternité regarde à la fenêtre du temps » (A. Koestler) / d’après Guilhem Chameyrat.
Emission d’après la suggestion de Nathalie Périn.
* 21 mai 2022 : Yann Diener, la langue quotidienne informatisée avec, et sur proposition de, Stéphanie Ronchewski-Degorre, Directrice de programme au Collège international de philosophie.
* 16 avril 2022 : Cette émission se propose de différencier l’écologie de l’écosophie en repartant de la définition de ces deux terlmes, de leur histoire pour montrer que l’écosophie (notamment avec Felix Guattari) suppose un changement global prenant en compte les rapports entre l’homme et l’animal, l’homme et son environnement (aussi bien naturel non tranformé que celui des villes) et de l’homme avec lui-même.
* 2 avril 2022 : La raison d’état l’art de gouverner et la question de la transparence et du secret en politique.
Nathalie Perin et Isabelle Raviolo vous proposent une émission de philosophie politique : elles abordent la question de l’art de gouverner à travers l’œuvre de Nicolas Machiavel et proposent une réflexion autour des concepts de transparence et de secret.
* 19 mars 2022 : La musique : un art du temps. (L’épreuve du presque rien) avec Guilhem Chameyrat (étudiant en philosophie et créateur d’une chaîne musicale You tube "Sofronichrist").
09-09-2022
Émission du 21 mai 2022
Émission du 25 juin 2022
Émission du 16 avril 2022
Émission du 02 avril 2022
Émission du 19 mars 2022
Émission du 02 juillet 2022
La Chambre d’à côté. Le décadrage absolu de Melville à Scorses de Marie Gil
Éditions Hermann, Paris, 2017
Samedi débat autour d’un livre
Sous la resp. d’Isabelle Alfandary.
Intervenants : Isabelle Alfandary, Thomas Clerc, Laurent Folliot, Marie Gil.
22-06-2019
Dialectique de la pop d’Agnès Gayraud
Éditions La Découverte, collection « La Rue Musicale », Paris, 2018
Samedi débat autour d’un livre
Sous la resp. de Pierre Arnoux.
Intervenants : Pierre Arnoux, Agnès Gayraud, Richard Mèmeteau, Gilles Moutot.
15-06-2019

Vladimir Safatle : Dialectique et délire : la place de la folie dans l’actualisation dialectique de l’absolu
Conférence
Depuis la constitution des cadres psychiatriques de la schizophrénie et de la démence précoce, la contradiction est comprise comme symptôme majeur de dissociation. En ce sens, la psychiatrie a conservé l’interdiction aristotélicienne de penser l’existence des objets à partir des propositions contradictoires. La contradiction ne peut indiquer qu’un vide d’objet à l’intérieur duquel la folie ne peut apparaître que comme « absence d’œuvre ». Néanmoins, la reprise de la dialectique à partir de Hegel s’est fondée, entre autres, sur une jonction entre contradiction et infini qui pourrait conduire la pensée au-delà des limites de la représentation.
Dans cette stratégie, il y a une ré-évaluation du rapport entre raison et folie. Si, comme disait Hegel, la dialectique est « l’esprit de contradiction organisée », alors cette organisation de la contradiction donne à la folie une place interne au mouvement du concept. Une internalisation de la folie qui n’est pas simplement l’intégration de l’altérité, mais surtout une stratégie singulière d’éclatement de la finitude et de la représentation.
Comme si la dialectique était constituée par un passage vers la folie, comme si elle était une « guérison » dont le processus est aussi une dissolution autant de l’existence même de la « maladie » que de la « cure ». À travers ces questions, nous nous interrogerons sur le sens et les chemins pour une reprise contemporaine de la dialectique à partir du problème du destin de la différence, de la totalité et de l’altérité.
Vladimir Safatle est professeur de philosophie à l’Université de São Paulo, auteur, entre autres de La Passion du négatif - Lacan et la dialectique (Georg Olms) et Grand Hôtel Abyss : desire, recognition and the restoration of the subject (Leuven University Press).
Discutante : Monique David-Ménard a une double carrière de professeure de philosophie et de psychanalyste. Elle a été directrice de programme puis vice-présidente de l’Assemblée collégiale du CIPh de 1992 à 1998. Parmi ses ouvrages publiés : La Folie dans la raison pure. Kant lecteur de Swedenborg (Vrin, Paris, 1990). Deleuze et la psychanalyse. L’altercation (PUF, Paris, 2005), Éloge des hasards dans la vie sexuelle (Hermann, Paris, 2011). Ouvrage en préparation : Critique de l’émancipation. Animisme de la propriété, animisme de l’inconscient.
16-01-2019

Le supermarché du visible. Essai d’iconomie de Peter Szendy
Éditions de Minuit, collection "Paradoxe", Paris, 2017
Samedi débat autour d’un livre
Sous la resp. de Vincent Jacques.
Intervenants : Lambert Dousson, Vincent Jacques, Luca Paltrinieri, Peter Szendy.
12-01-2019

Le Figurant de Didier Blonde
Éditions Gallimard, Paris, 2018
Samedi débat autour d’un livre
Sous la resp. de Claire Pagès.
Intervenants : Didier Blonde, Vincent Jacques, Claire Pagès, François Roussel.
26-01-2019

Jean-Christophe Bailly : Naissance de la phrase
Conférence
Il s’agira de se demander 1) comment la phrase ou le phraser sont apparus, comment, en d’autres termes, la possibilité de l’articulation du sens est venue organiser la réponse humaine à l’existence qu’est le langage. Cette naissance, qui n’a pas d’autre trace que celle du langage lui-même, c’est-à-dire celle de toutes les langues, est bien sûr pour nous indescriptible et insituable, même si chaque langue en est à la fois le devenir et l’archive. C’est justement à cause de ce caractère enfoui, ou perdu, de l’origine du phraser qu’il s’agira aussi de regarder 2) comment viennent les phrases, comment elles naissent et comment, en se déployant, elles rejouent (peut-être) le scénario de leur première venue, en remettant en jeu la tension entre le lexical et le syntaxique ou, plus précisément, entre ce qui désigne et ce qui énonce.
Jean-Christophe Bailly, écrivain. Auteur, entre autres du Propre du langage (Seuil, 1997), de La Véridiction (Bourgois, 2011), de L’Élargissement du poème (Bourgois, 2015) et de Saisir (Seuil, 2018).
Discutante : Isabelle Alfandary, directrice de programme au CIPh et professeure à l’Université Sorbonne-Nouvelle.
20-03-2019

Jacob Rogozinski : Le moi et la chair : nouvelles perspectives de l’ego-analyse
Conférence
Dans Le Moi et la chair, paru en 2006, Jacob Rogozinski mettait en question ce qu’il appelle l’égicide. Ce terme désigne le geste commun à plusieurs penseurs contemporains (Nietzsche, Heidegger, Lacan, Levinas, Deleuze…) qui considèrent le moi comme une illusion qu’il importe de dissiper, ou comme une instance dérivée d’un « non-moi » plus originaire, ou encore comme le foyer du narcissisme, de la violence et de l’injustice. En opérant un retour à Descartes et à la « voie cartésienne » de la phénoménologie de Husserl et en se confrontant aux acquis de la psychanalyse, il s’agit de constituer une ego-analyse, une nouvelle théorie du moi incarné dans sa chair. Celle-ci se centre sur le chiasme charnel, la synthèse originaire qui permet au moi de surmonter sa dispersion primordiale en se donnant un corps. Toujours inachevée, cette synthèse se heurte à la résistance d’un restant, d’une part de ma chair qui m’apparaît comme étrangère à ma chair. L’ego-analyse se donne alors pour tâche de décrire les crises du chiasme, les défaillances des synthèses charnelles qui entraînent une défiguration, puis une transfiguration du restant. C’est dans ce processus que s’originent ces affects primordiaux que sont l’angoisse de mourir, la haine et l’envie, mais aussi l’amour et l’espoir d’une délivrance.
À l’occasion de la réédition de Le Moi et la chair, il convient aujourd’hui de dresser un premier bilan des recherches entreprises au titre de l’ego-analyse. Le dialogue avec la psychanalyse s’est poursuivi et de nouveaux domaines ont été explorés : la littérature (à travers l’œuvre incomparable d’Antonin Artaud), puis l’histoire (celle des exclusions et des persécutions). Ainsi l’ego-analyse s’est-elle déployée du champ d’immanence du moi-chair à l’existence historique dans le monde, sans éviter de se confronter à l’actualité – celle de la terreur djihadiste. Il a fallu faire appel à d’autres concepts, ceux de sublimation, de schème, de dispositif, et aborder de nouvelles questions, comme celle du sacrifice. On doit alors se demander dans quelle mesure la problématique s’est-elle transformée et comment l’ego-analyse pourra-t-elle s’approfondir tout en restant fidèle à son orientation initiale.
Jacob Rogozinski, est professeur à la Faculté de philosophie de Strasbourg. Il est l’auteur de plusieurs livres qui se situent au croisement de la phénoménologie, de la psychanalyse et de la philosophie politique : notamment Le Moi et la chair (Cerf, 2006, réédition en poche : 2019), Ils m’ont haï sans raison (Cerf, 2015) et Djihadisme : le retour du sacrifice (Desclée de Brouwer, 2017). Il travaille actuellement sur la dimension émancipatrice de l’Exode et des religions abrahamiques.
Discutants : Christophe Angebault-Rousset, directeur de programme au CIPh, et Jérôme Lèbre, directeur de programme au CIPh.
10-04-2019

Apocalypse du politique de Vincent Delecroix
Éditions Desclée de Brouwer, Paris, 2016
Samedi débat autour d’un livre
Sous la resp. d’Élise Lamy-Rested.
Intervenants : Isabelle Alfandary, Vincent Delecroix, Élise Lamy-Rested.
13-04-2019

Jean-Michel Claverie : Les virus géants : remue-ménage et remue-méninges en biologie
Conférence
Il y a plus d’un siècle, la notion de « virus » a été introduite pour désigner des agents infectieux invisibles au microscope, incultivables, et seuls capables de traverser les filtres de porcelaine de Chamberland. La Virologie s’est alors développée comme l’étude de ces entités biologiques infinitésimales, dotées de génomes minimaux et entièrement dépendant des fonctions cellulaires pour se multiplier.
Véritable pied de nez à la programmation de la recherche, les quinze dernières années ont vu la découverte de quatre familles de « virus géants », aussi gros que des cellules et possédant autant de gènes que de bactéries. Pire, la plupart de ces gènes n’ont aucune parenté avec le reste du Vivant.
Comment la vision établie du monde microbien a pu être à ce point chamboulée en quinze ans par une poignée de laboratoires est désormais une question pour les épistémologistes. Nous verrons que les quatre « obstacles épistémologiques » bachelardiens (l’expérience première, l’inertie du savoir, la généralisation prématurée, mais aussi l’obstacle verbal) expliquent plus d’un siècle d’aveuglement.
Mais la révolution n’est pas que factuelle. L’existence même des virus géants et l’étrangeté de leur contenu génétique, nous font douter de la capacité du néodarwinisme à rendre compte de l’inventivité du monde microbien. Nourrie de nombreux apports pluridisciplinaires autant que du « big data » de la génomique environnementale, la mise en examen du scénario classique de l’évolution biologique déclenchée par « l’affaire » des virus géants apparaît de plus en plus inévitable.
Jean-Michel Claverie, est professeur/praticien hospitalier à l’Université d’Aix-Marseille. Il y a dirigé l’Institut de Microbiologie de la Méditerranée et le laboratoire Information Génomique et Structurale jusqu’en 2017. Il est connu pour sa découverte des premiers virus « géants » dont il a ensuite démontré la diversité et la capacité à survivre des millénaires dans le sol sibérien. Il se consacre désormais à l’élucidation des paradoxes évolutifs qui entourent leur existence. Pionnier de la Bio-Informatique, il est co-auteur de 230 articles scientifiques et du best-seller « Bioinformatics for Dummies » (Wiley, 2003).
Discutant : Jérôme Rosanvallon, directeur de programme au CIPh. Son séminaire de cette année s’intitule « Biogenèse, ontophylogenèse et mondes possibles » (voir p. 61)
14-05-2019

Jean-Jacques Kupiec : La conception anarchiste du vivant
Conférence
Depuis l’Antiquité, le vivant est source d’innombrables débats. Différentes théories ont prévalu à différentes époques. Mais, l’opinion selon laquelle la vie est un phénomène déterministe a toujours dominé. Avec la génétique et la biologie moléculaire, l’être vivant a été conçu comme la réalisation d’un plan codé dans le génome, toute l’activité cellulaire supposée dirigée par le programme génétique et dévouée au bien-être de l’organisme. Cette théorie a perpétué la tradition finaliste qui fait du développement embryonnaire un processus démarrant avec l’œuf et finissant avec l’être adulte, chaque étape intermédiaire n’étant que préparatoire à l’étape finale. L’exécution de ce programme se ferait grâce aux instructions du génome, transmises par des protéines spécifiques agissant comme des signaux, auxquelles les cellules obéiraient. Cette théorie est caduque. D’une part, elle ne résout pas la contradiction de la génétique qui oscille entre un préformationnisme basé sur un génome tout-puissant et une épigenèse qui remet en selle l’environnement. D’autre part, elle ne tient pas compte de la variabilité stochastique généralisée qui sévit dans le vivant. La théorie anarchiste du vivant rompt avec le déterminisme. Selon elle, le fonctionnement des cellules est intrinsèquement probabiliste ce qui leur permet de se différencier spontanément. Elles le font en s’associant par intérêt mutuel et en s’adaptant à leur milieu intérieur au sein de la société cellulaire. Dans cette perspective, le développement embryonnaire n’est pas orienté vers un objectif. Les cellules ne se différencient pas pour former un corps vivant. Elles s’adaptent à leurs conditions de vie locales. Elles n’exécutent pas passivement le programme génétique, mais s’associent librement, en tenant compte des contraintes qui les affectent collectivement. L’être vivant individuel qui émerge comme un tout fonctionnel intégré est un produit secondaire de l’activité primaire locale des cellules.
Jean-Jacques Kupiec est biologiste. Il a d’abord pratiqué la biologie moléculaire à l’INSERM, puis l’histoire et la philosophie de la biologie à l’ENS (Paris). Il est l’auteur d’une théorie qui remet en cause de manière radicale la vision du vivant héritée de la génétique. Il a publié plusieurs ouvrages qui ont eu un grand écho : Ni Dieu, ni gène (avec Pierre Sonigo, Seuil, 2003), L’Origine des individus (Fayard, 2008), L’Ontophylogenèse. Évolution des espèces et développement de l’individu (Quae-INRA, 2012). À paraître à l’automne 2019 : La Conception anarchiste du vivant (LLL).
Discutant : Jérôme Rosanvallon, directeur de programme au CIPh. Son séminaire de cette année s’intitule « Biogenèse, ontophylogenèse et mondes possibles »
18-06-2019
Thomas Heams : Le vivant sans frontières et l’ontophylogenèse
Conférence dans le cadre du séminaire « Actualité de Deleuze & Guattari. (III) Biogenèse, ontophylogenèse et mondes possibles » de Jérôme Rosanvallon.
28-05-2019

Danny Trom : Les juifs et la politique : une tradition politique sans philosophie
Conférence
Notre vision politique moderne doit l’essentiel à Athènes, Jérusalem ayant été projeté dans un Royaume céleste. Les juifs, ceux qui revendiquent l’héritage d’Israël par lignage, sont-ils alors dépourvus de toute vision politique du monde ? En découle la question débattue de savoir s’il existe, en l’absence de toute philosophie politique, une tradition politique juive. Un détour s’impose : les juifs ont une longue expérience politique et ont, empiriquement, développé des pratiques collectives de survie. Elles sont suffisamment homogènes et constantes pour en extraire une proto-théorie politique et sonder la manière dont elle s’est articulée aux transformations de la politique souveraine en Europe.
Danny Trom, est chercheur au CNRS, rattaché au LIER-CYT et chercheur associé au Centre d’études juives, laboratoires de l’EHESS.
Discutant : Marc Goldschmit, directeur de programme au CIPh.
13-11-2019
Philosophie synthétique de la mathématique contemporaine de Fernando Zalamea
Éditions Hermann, collection « Pensée des sciences », Paris, 2019
Samedi débat autour d’un livre
Sous la resp. de Carlos Lobo.
Intervenants : Charles Alunni, Luciano Boi, Carlos Lobo, Fernando Zalamea.
16-11-2019

Radio Aligre
Philosophie au présent, émission animée par Isabelle Raviolo & Nathalie Perin, directrices de programme au Collège international de philosophie.
* 9 novembre 2019 : Cycle philosophie et art. Le cinéma 5 : Alfred Hitchcock présenté par Nathalie Périn & Isabelle Raviolo.
* 27 juin 2019 : Cycle philosophie et art. Le cinéma 4 : Clint Eastwood (fin)
Gran Torino, de Clint Eastwood, 2009 par Isabelle raviolo.
* 20 juin 2019 : Cycle philosophie et art. Le cinéma 3 : Clint Eastwood
Emission consacrée au cinéaste Clint Eastwood.
Deux de ses films sont à la discussion entre Isabelle Raviolo et Nathalie Périn : Mystic River (2004) et Million Dollar Baby (2005).
* 6 juin 2019 : Cycle philosophie et art. Le cinéma 2 : François Truffaut
par Isabelle Raviolo.
* 16 mai 2019 : Cycle philosophie et art. Le cinéma 1 : Franck Borzage
L’amour dans l’œuvre de Frank Borzage
Cinéaste, philosophe et poète, par Isabelle Raviolo
« Frank Borzage est un cinéaste de la subjectivité, qui habitait ses propres acteurs. Il est tout le contraire de Fritz Lang, il ne croit pas à la fatalité. »
* 2 mai 2019 : Philosophie et enseignement : Jacques Derrida
Retour sur la conception de l’enseignement de la philosophie selon Jacques Derrida, co-fondateur du Greph : groupe de recherche sur l’enseignement de la philosophie qui, dans les années 1974-1975, pour contrecarrer une politique de droite visant à faire disparaître l’enseignement de la philosophie du secondaire, a mis en place une résistance à cet amoindrissement dont le centre a été de repenser cet enseignement, ses finalités touchant à la définition même de la philosophie.
Livre cité : Jacques Derrida, Du droit à la philosophie, Galilée, 1990.
* 28 février 2019 : La place de la philosophie, aujourd’hui, dans l’enseignement
Dans le cadre des manifestations sur la réforme du baccalauréat, discussion avec des lycéennes concernant la manière dont elles ont vécu ou vivent leur cours de philosophie au lycée.
Camille, lycéenne, et Valentine étudiante nous livrent leur expérience et leur regard sur cet enseignement.
* 21 février 2019 : Carte(s) blanche(s) : Pascal Quignard ou l’écriture fragmentaire
présenté par Nathalie Périn & Isabelle Raviolo.
* 7 février 2019 : Carte(s) blanche(s) : Nancy Huston et François Jullien présenté par Nathalie Périn & Isabelle Raviolo.
* 17 janvier 2019 : Carte(s) blanche(s) à Rachid Taha et Tomas Sarraceno 1ère carte blanche par Nathalie Périn
2ème carte blanche par Isabelle Raviolo
30-09-2022
Émission du 9 novembre 2019
Émission du 20 juin 2019
Émission du 27 juin 2019
Émission du 6 juin 2019
Émission du 16 mai 2019
Émission du 2 mai 2019
Émission du 28 février 2019
Émission du 21 février 2019
Émission du 7 février 2019
Émission du 17 janvier 2019